Face à cette situation économique est difficile, les responsables de l’UNACOIS JAPPO étaient face à la presse ce jeudi 24 avril 2025 à son siege pour éclairer l’opinion sur la temperature de leur secteur aprés un an de gestion du régime Diomaye – Sonko .Ils estiment que c’est le commerce qui est plus , qui stime de plus que c’est le secteur du commerce qui est le pus affecté.Ils ont évoqué notamment la question des réformes du code général des impôts et celui des douanes.
» Il est problématique de faire des réformes sur le code général des impôts sans impliquer les acteurs qui sont les premiers être touchés par ces mesures liées à la base légale opposable à tous »a déclaré le secretaire permanent de l’Unacois Jappo , M. Ousmane Sy Ndiaye . Selon lui cette stratégie économique consistant à rassembler les dispositions relatives à l’assiette et au recouvrement de l’impôt sur le revenu, de l’impôt sur les sociétés, de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), des droits d’enregistrement et des impôts locaux doit faire « l’objet de larges concertations pour avoir l’avis des acteurs du commerce ». » et c’est le meme cas en ce qui concerne le code des douanes. En effet, pour fixer les règles et procédures générales applicables aux marchandises qui entrent sur le territoire douanier du Sénégal ou qui en sortent, il faut un dialogue avec les acteurs du commerce pour une adaptation aux modèles commerciaux et aux outils de communication modernes.
» Il est problématique de faire des réformes sur le code général des impôts sans impliquer les acteurs qui sont les premiers être touchés par ces mesures liées à la base légale opposable à tous »a déclaré le secretaire permanent de l’Unacois Jappo , M. Ousmane Sy Ndiaye . Selon lui cette stratégie économique consistant à rassembler les dispositions relatives à l’assiette et au recouvrement de l’impôt sur le revenu, de l’impôt sur les sociétés, de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), des droits d’enregistrement et des impôts locaux doit faire « l’objet de larges concertations pour avoir l’avis des acteurs du commerce ». » et c’est le meme cas en ce qui concerne le code des douanes. En effet, pour fixer les règles et procédures générales applicables aux marchandises qui entrent sur le territoire douanier du Sénégal ou qui en sortent, il faut un dialogue avec les acteurs du commerce pour une adaptation aux modèles commerciaux et aux outils de communication modernes.
Le prétexte était l’interpellation d’un des leurs, en l’occurrence Moustapha Ndiaye, dans le cadre de la reddition des comptes liée à la gestion des fonds Covid-19. Ils ont profité de ce face à face avec les journalistes pour dénoncer cette machine judiciaire à l’encontre de leur camarade Moustapha Ndiaye, dans le cadre de la reddition des comptes liée à la gestion des fonds Covid-19., qu’ils considèrent comme un des champions de l’exportation de riz au Sénégal. Mais avant de soulever cette question et d’apporter leur soutien indéfectible à Moustapha Ndiaye, l’UNACOIS JAPPO a fait un rappel sur « la situation économique morose », constatée depuis l’arrivée du nouveau régime.
Durant toutes les crises traversées, depuis la dévaluation du Franc CFA jusqu’à la grande crise internationale sur les finances publiques et celle de la Covid-19, Ousmane Sy Ndiaye et ses camarades ont remarqué que « la concertation et le dialogue ont été les principaux vecteurs d’identification des contraintes, de préservation des activités des entreprises et de relance des activités ». Dans ce contexte de mise en œuvre du programme 20-50, ils estiment que les questions suivantes restent toujours en suspens : « quel est le cadre dans lequel nous allons évoluer avec l’État, quel sera le modèle de dialogue à mener et quels en seront les tenants et les aboutissants ? »
D’après l’association professionnelle de commerçants, il est suffisamment lourd et préoccupant de voir leur secteur être confronté à des risques de nos jours. « C’est l’une des raisons qui explique le ralentissement de l’activité. Nous l’avons constaté dans la circulation, dans le flux des transactions et activités du port de Dakar, affectant ainsi le secteur du commerce qui est aujourd’hui à l’agonie »
Durant toutes les crises traversées, depuis la dévaluation du Franc CFA jusqu’à la grande crise internationale sur les finances publiques et celle de la Covid-19, Ousmane Sy Ndiaye et ses camarades ont remarqué que « la concertation et le dialogue ont été les principaux vecteurs d’identification des contraintes, de préservation des activités des entreprises et de relance des activités ». Dans ce contexte de mise en œuvre du programme 20-50, ils estiment que les questions suivantes restent toujours en suspens : « quel est le cadre dans lequel nous allons évoluer avec l’État, quel sera le modèle de dialogue à mener et quels en seront les tenants et les aboutissants ? »
D’après l’association professionnelle de commerçants, il est suffisamment lourd et préoccupant de voir leur secteur être confronté à des risques de nos jours. « C’est l’une des raisons qui explique le ralentissement de l’activité. Nous l’avons constaté dans la circulation, dans le flux des transactions et activités du port de Dakar, affectant ainsi le secteur du commerce qui est aujourd’hui à l’agonie »