par Ibrahima Dia
La Confédération pour la Démocratie et le Socialisme (CDS) était face à la presse ce jeudi 10 juillet 2025 au siege de la LD.Les leaders de ses différentes composantes ont exprimé de sérieuses préoccupations notées sur la situation actuelle du pays. Selon il y a crise généralisée » affectant plusieurs segments clés du pays.
» Nous appelons à la mobilisation de tous les citoyens, « forces vives de la nation ,mouvements de jeunesse, syndicats, intellectuels, chefs » a déclaré Nicolas Ndiaye porte parole des leaders de la Cds .Dans une déclaration lue devant les journalistes par M. Bassirou Sarr , ces leaders de la gauche historique ont souligné l’attitude du parti » Pastef »
18 mois après, les fruits sont loin d’être propices au service d’une rupture contrairement ,ils sentent « amères »comme tristement confirmé par le président Diomaye au peuple : « vous avez commandé un plat amère ».
Poursuivant leur argumentaire , ils estiment que cette triste réalité d’un pouvoir qui a trop déçu risque de leur coûter cher au parti au pouvoir qui fait face au même moment à une opposition politique organisée, à la controverse du Fonds Monétaire International ,à une une répression d’opinions ,une situation économique morose…
Globalement les effets de cette situation inédite de toute l’histoire politique du pays peut faire de pastef ,le pouvoir le plus éphémère qu’ait connu le Sénégal » ont t-ils ajouté
.Selon la Conférence des leaders de la CDS à cette phase critique de notre trajectoire nationale , nous disons non à la dérive et ouï à une république fidèle à ses valeurs essentielles ».Dans cet lancée ,cette frange de l’opposition appelle le pouvoir à aussi de son côté opérer un changement profond d’attitude et c’est aussi un cri de raison et d’urgence lancé au gouvernement. Il est urgent d’opérer, sans délai, un changement profond d’attitude, de rompre avec l’arrogance, le mépris et l’opacité, afin d’ouvrir le chemin d’un redressement économique véritable et inclusif pour notre pays »,.
Formellement résolu à faire face à un régime qui a mis en « danger » tous les secteurs, ils réaffirment toujours leur volonté de créer un grand parti de gauche .